Les personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable (SII) sont nombreuses à faire appel aux médecine alternatives afin de soulager leurs symptômes. Et la thérapie cognitive comportementale (TCC) semble avoir fait ses preuves dans la gestion des troubles liés au SII. Décryptage.
C’est un fait : se régaler sans souffrir de troubles digestifs est difficile en cas de syndrome de l’intestin irritable. Oui, les FODMAPs sont partout et parfois même là où on ne les attend pas. Et ce peut également être le contraire, certains aliments peuvent être consommés alors qu’on pense, à tort, ne pas pouvoir les tolérer. C’est pourquoi nous vous proposons aujourd’hui 5 aliments adaptés au syndrome de l’intestin irritable (SII). Surprise garantie !
Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est fréquemment confondu avec les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), comme la maladie de Crohn ou la rectocolite hémorragique. Et pour cause, toutes ces maladies concernent l’intestin et les symptômes rapportés par les patients peuvent être proches. Mais quelles sont exactement les différences entre le SII et les MICI ?
L’alimentation est un véritable casse-tête chez les personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable. Le contenu de l’assiette peut, en quelques bouchées, faire vivre un véritable cauchemar digestif. Les responsables ? En partie les FODMAPs ! Vous savez, ces petits sucres fermentescibles de la famille des glucides présents dans nombre d’aliments du quotidien. Mais où les trouver exactement ? En cas de syndrome de l’intestin irritable, quels aliments éviter ?
Nombre de personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable associent leurs symptômes à l’ingestion de gluten et n’hésitent donc pas à adopter un régime sans gluten. Mais est-ce bien le gluten qui est à l’origine de ces maux ? Les personnes souffrant du SII sont-elles aussi intolérantes au gluten ? On vous explique tout !
Vanté pour ses nombreux bienfaits sur la santé, le jeûne intermittent a le vent en poupe depuis quelques années et nombreuses sont les personnes à se lancer dans ce type de jeûne. La majorité des personnes qui souffrent du syndrome de l’intestin irritable associent leurs troubles à leurs repas et sont ainsi nombreux à sauter le déjeuner ou le dîner par exemple, donc à pratiquer le jeûne intermittent, afin de limiter leurs douleurs. Mais est-ce une bonne idée ?
Vanté pour ses nombreux bienfaits sur la santé, le jeûne intermittent a le vent en poupe depuis quelques années et nombreuses sont les personnes à se lancer dans ce type de jeûne. La majorité des personnes qui souffrent du syndrome de l’intestin irritable associent leurs troubles à leurs repas et sont ainsi nombreux à sauter le déjeuner ou le dîner par exemple, donc à pratiquer le jeûne intermittent, afin de limiter leurs douleurs. Mais est-ce une bonne idée ?