Suivre un régime pauvre en FODMAPs ? Bonne ou mauvaise idée? Vivre avec le syndrome de l’intestin irritable (SII) est bien trop souvent synonyme de symptômes digestifs à répétition. Crampes, ballonnements, troubles du transit gâchent le quotidien de nombreux malades. En cause ? Ces petits et sournois sucres fermentescibles que sont les FODMAPs. Aussi, nombre de personnes souffrant du SII n’hésitent pas à adopter un régime sans FODMAPs. Et c’est donc...une mauvaise idée ! Explications.
Suivre un régime pauvre en FODMAPs ? Bonne ou mauvaise idée ? Vivre avec le syndrome de l’intestin irritable (SII) est bien trop souvent synonyme de symptômes digestifs à répétition. Crampes, ballonnements, troubles du transit gâchent le quotidien de nombreux malades. En cause ? Ces petits et sournois sucres fermentescibles que sont les FODMAPs. Aussi, nombre de personnes souffrant du SII n’hésitent pas à adopter un régime sans FODMAPs. Et c’est donc...une mauvaise idée ! Explications.
Fatigue, angoisse, stress… Malgré les cures de vitamine C pour combattre la fatigue et les cures de magnésium pour vous déstresser, rien n’y fait, vous vous sentez au bord de la dépression.
Et si on vous disait que votre microbiote intestinal y est peut être pour quelque chose, seriez-vous étonné(e) ?
Fatigue, angoisse, stress… Malgré les cures de vitamine C pour combattre la fatigue et les cures de magnésium pour vous déstresser, rien n’y fait, vous vous sentez au bord de la dépression. Et si on vous disait que votre microbiote intestinal y est peut être pour quelque chose, seriez-vous étonné(e) ?
En ce moment votre transit vous joue des tours ? Des diarrhées impérieuses viennent complexifier vos déplacements ? Les vacances de la Toussaint sont là et vous avez bien l’intention d’en profiter pour changer d’air. Vous avez bien raison !
Voici quelques conseils pour gérer au mieux vos trajets de vacances ou vos déplacements du quotidien en cas de diarrhée.
Le syndrome de l’intestin irritable, ou colopathie fonctionnelle, est une maladie peu connue, mais qui concerne une grande partie de la population, notamment les femmes. Cette pathologie est associée à des troubles de la motricité, de la sensibilité et/ou de la sécrétion colique. Cela se manifeste par des maux de ventre, des douleurs abdominales, des ballonnements, et des problèmes de transit intestinal.
Quels sont donc les remèdes pour y remédier ?
L’automne s’installe de plus en plus. L’hiver ne va pas tarder à pointer le bout de son nez. Vous vous sentez fatigué et cela ne s’arrange pas avec le changement d’heure qui est intervenu il y a plusieurs semaines. Le syndrome de l’intestin irritable dont vous souffrez n’est pas non plus innocent dans cette fatigue.
L’automne s’installe de plus en plus. L’hiver ne va pas tarder à pointer le bout de son nez. Vous vous sentez fatigué et cela ne s’arrange pas avec le changement d’heure qui est intervenu il y a plusieurs semaines. Le syndrome de l’intestin irritable dont vous souffrez n’est pas non plus innocent dans cette fatigue.
Le syndrome de l’intestin irritable, ou colopathie fonctionnelle, est une maladie peu connue, mais qui concerne une grande partie de la population, notamment les femmes. Cette pathologie est associée à des troubles de la motricité, de la sensibilité et/ou de la sécrétion colique. Cela se manifeste par des maux de ventre, des douleurs abdominales, des ballonnements, et des problèmes de transit intestinal.
Quels sont les remèdes pour y remédier ?
Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est une maladie qui touche environ 5 % de la population. Àl’heure actuelle, il n’existe pas de recommandation des autorités de santé sur la prise en charge médicale du SII, ce qui rend la maladie difficile à gérer pour les patients.
Pour soulager leurs symptômes (ballonnements, diarrhée, constipation, douleurs abdominales) de plus en plus de malades se tournent vers les médecines alternatives. Selon une enquête menée par l’APSSII, 33 % des personnes touchées par le SII suivent, en plus de leur traitement médicamenteux, un traitement homéopathique ; 27 % choisissent l’ostéopathie ; 15 % optent pour l’hypnose ; 30 % se tournent vers la relaxation et 27 % testent l’acupuncture. Faisons un tour d’horizon des prises en charge alternatives possibles dans le cadre d’un SII.