Les fêtes de fin d’année sont très très chargées. Les repas sont riches, les plaisirs salés et sucrés omniprésents, les chocolats offerts par tous les membres de la famille… Vous en profitez ? Vous avez bien raison ! Seulement, ces excès ne sont pas nécessairement adaptés à l’équilibre de votre diabète, ni à votre santé de manière générale. C’est pourquoi il est nécessaire de savoir comment gérer sa glycémie pendant les fêtes.
Alors que les fêtes de fin d’année approchent dangereusement, vous ignorez encore avec quel plat vous allez épater vos proches ? Votre cœur balance entre le classique chapon et la finesse des coquilles Saint-Jacques alors que vous souhaitez ne pas prendre trop de poids durant les fêtes ? Si vous hésitez encore, suivez l’avis de nos diététichefs.
Un goûter en famille, une pause grignotage entre deux jeux de société… les appels au goûter sont nombreux durant les fêtes de fin d’année. Mais quel goûter faut-il préférer si on souhaite limiter les kilos ? Des marrons chauds ou bien une gaufre ? Nos diététiciennes ont donné leur avis !
Le diabète est une maladie qui ne touche pas seulement l’aspect physiologique du corps humain : elle touche également l’aspect psychologique. En effet, on estime que 36 % à 40 % des personnes atteintes de diabète ont des tendances dépressives, et 10 % des diabétiques sont dépressifs. Le risque de développer une dépression est 2 fois plus important chez personne atteinte de diabète de type 2. Des chiffres plutôt éloquents qui traduisent la souffrance des patients. Des chiffres qui montrent l’importance d’une prise en charge prenant en compte l’aspect psychosocial.
Eté comme hiver, le corps est mis à rude épreuve pour s’adapter aux extrêmes de températures.
Et c’est encore plus vrai à l’heure actuelle : en été, il fait très (trop ?) chaud, et en hiver, il fait très (trop) froid. Pour les hommes qui doivent réguler leur température interne à environ 37°C, cela demande une sacrée faculté au corps pour se tempérer.
Mais pour les personnes atteintes de pathologies chroniques, comme le diabète, cela n’est pas sans conséquence.
Le diabète de type 2 s’installe le plus souvent avec l’avancée en âge tout comme le surpoids ou l’obésité. L’augmentation du poids avec l’âge peut être due à des perturbations hormonales chez la femme par exemple au moment de la ménopause ou à cause d’une diminution de l’activité physique. Surpoids ou obésité et diabète de type 2 sont intimement liés : les trois quarts de patients diabétiques sont aussi en obésité. Quels sont les liens de causalité entre ces deux maladies ? La perte de poids a-t-elle une influence sur le diabète de type 2 ? On va vous donner des éléments de réponse à ces deux questions.
Le diabète, comme on l’a déjà dit, n’est pas un long fleuve tranquille. Car au-delà de traiter la maladie en elle-même, il faut également traiter et/ou soigner des complications potentielles. Et là, cela peut vite devenir très chronophage dans le sens où les rendez-vous médicaux peuvent rapidement s’enchaîner. Au-delà de l'aspect "planning", qu’en est-il de l’aspect financier ? Que doit payer le patient pour s’occuper de soi ?
On vous en dit plus 😊
Le diabète est synonyme de piqûre, afin de recueillir une goutte de sang sur le bout des doigts et déterminr sa glycémie de façon instantanée. Cette mesure est indispensable pour s’autosurveiller : cela permet de vérifier son état glycémique. Et d’adapter ainsi ses doses d’insuline par exemple à s’injecter. Mais difficile pour certains patients de se piquer en public.